Notre partenariat avec la Commission Scolaire du Fleuve-et-des-Lacs a commencé il y a bien longtemps, un peu comme une belle histoire d’amitié entre deux passionnés d’éducation: Bernard d’Amours, directeur général de la commission scolaire du Fleuve-et-des-Lacs, et Thomas Arsenault. ex-directeur d’école (pendant 31 ans, comme il nous le rappelle si bien) et co-fondateur de notre belle fondation.
Tout a débuté il y a 4 ans lorsque des directions d’école ont décidé de déployer Mobilys à leur école. Au bout de quelques années, ils ont fait part à leurs collègues de l’impact des retombées et l’impact de Mobilys auprès de leurs jeunes les parents et la communauté. M. Bernard d’Amours et son équipe ont offert l’opportunité à toutes les directions d’école de faire partie de l’aventure Mobilys.
Bien qu’en place depuis plusieurs mois déjà, c’est à la rentrée de cette année, le 25 août 2017, que l’annonce officielle a été faite. Directions d’école, gestionnaires, médias, tous se sont déplacés afin d’échanger sur les bienfaits de ce partenariat. Rappelons-nous le, en avril dernier, on apprenait que la CSFL atteignait un taux de diplomation 80,6% soit la plus haute augmentation au Québec.
Le plus impressionnant dans tout cela, c’est le dynamisme avec lequel chacun des acteurs de ce projet participe. Officiellement, l’ensemble des établissements utilise la plateforme Mobilys depuis Janvier dernier. Nous avons donc recueilli les données des pages Facebook sur une période de 6 mois, soit de janvier à juin afin d’illustrer le rayonnement et la portée que peuvent atteindre quelques publications par semaine.
À ce jour, la majorité des directions d’école ont emboîté le pas. La CS mène un même objectif: Créer des liens solidaires entre les parents, l’équipe-école et la communauté afin de favoriser l’engagement du jeune face à sa persévérance et sa réussite éducative.
Nous espérons et travaillons très fort pour que la commission scolaire du Fleuve-et-des-Lacs influence positivement les autres CS de sa région et possiblement du Québec. Si tout fonctionne, un bel avenir est réservé à l’éducation au Québec.
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